Association des CASU

Bon, les collègues de l’Allier s’inquiètent de la concurrence que nous pourrions faire à leur site et ont mal vécu la pub que nous y avons faite. On n’a pas pris le temps de prendre contact avec eux, c’est regrettable, et il faudrait rattraper ça. C’est idiot, parce qu’on continuera à aller y récupérer des infos, ce site est très bien foutu. Les 18 du comité de pilotage confirmeront que notre projet ne consiste pas à refaire ce qui existe déjà et que nous souhaitons jouer la complémentarité à fond. Si chacun pouvait aller y tenter de recoller les morceaux …

D’une manière générale, si on synthétise les quelques critiques, sur le site et dans les nombreux courriers reçus au bureau, on peut noter la difficulté de communiquer autour de notre concept. Les reproches tournent autour de deux éléments :
 la création d’une énième structure, qui va diviser les forces de l’ASU
 et l’aspect corporatiste d’une association "réservée" aux CASU.

Le premier argument est une illusion du prisme centralisateur, qui consiste à croire qu’une structure unique mobilise plus que plusieurs. A mon sens, un nouveau foyer de discussion n’affaiblit pas les autres. On le voit sur la toile : chaque site adopte un ton qui lui est propre, développe une convivialité particulière et se créé sa clientèle d’habitués. Nous ne sommes pas dans une situation de pénurie, sur un champ de forces limitées en quantité.

La seconde critique est plus délicate à parer. Nous sommes au creux d’une contradiction : nous voulons un espace pour les CASU, mais ouvert à toute l’AASU. Nous voulons défendre l’identité du corps, par delà la diversité des métiers, et en même temps ne jamais oublier les attachés dans le besoin que nous fûmes auparavant. Ben alors, ils ne savent pas ce qu’ils veulent, ces CASU ?